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Suite 2  

Rita_Travestie 68T
484 posts
8/21/2012 8:02 am
Suite 2

- À vous, Messieurs.
Je suis interloqué : L'équivalent de mon pantalon est la jupe d'Isabelle ; Et elle pend sur ses hanches. Que dois-je faire ? Mais François, lui, a compris ; il va chercher le collant d’Élodie. Je me lève à mon tour pour aller chercher le collant qui m'est destiné. Et je l'enfile... à la manière d'un pantalon. C'est-à-dire debout, en le tenant par le haut et en l'écartant un max ; et je glisse mon pied dans le machin. Mais ce n'est pas un pantalon. Et mon pied reste coincé à, à peine mi-longueur. Je force et ça coince d'avantage. Déséquilibré, un pied en l'air, je m'écroule sur le tapis. Et mon pied passe au-travers du voile. J'ai déchiré la fragile chose.
- Oh non ! Fait Isabelle. Comment on va faire maintenant ? ton est plus triste que réprobateur.
- T'inquiète, ma cocotte. Fait Élodie en se levant pour disparaitre à grands pas.
Elle a tôt fait de revenir avec un collant noir. Elle se place au-dessus de moi qui suis assis sur le tapis. Elle fait se balancer le collant qui me caresse la poitrine puis les cuisses et le bas-ventre.
- Et cette fois-ci fais attention ! Me lance-t-elle sur un ton que n'aurait pas renié mon adjudant.
Je me dépêtre du collant troué, me relève et vais m'assoir. Et à la manière dont j'ai vu ma mère mettre des bas, je rassemble dans ma paume toute la longueur d'une jambe du collant d’Élodie, pour y glisser délicatement mon pied et remonter en dévidant le long de ma jambe jusqu’en haut de la cuisse. Puis reposant cette jambe gainée parterre, je lève l'autre pour faire de-même. Mais il n'y a pas assez de longueur ou de largeur, je ne sais pas. Toujours est-il que je ne parviens pas à plier suffisamment ma jambe pour la rentrer dans le collant à demi enfilé. J'ai trop remonté la première jambe. Déséquilibré, je manque de me foutre parterre depuis ma chaise. Et lâchant tout, je pose une main au sol pour me rattraper, tout en reposant précipitamment mon pied.
- T'as vraiment un problème avec les collants, toi ! Me fait François d'un ton goguenard. Les filles rient de bon cœur. Je ne me sens pas à la fête.
C'est que François est déjà paré du sien. Et les filles se donnent des coups de coudes en se tordant de rire.
Je respire un grand coup. Je baisse ce maudit collant presque jusqu’au genou. Je rassemble l'autre jambe du truc au milieu de mes deux paumes. Et c'est passablement énervé, que j'enfile la deuxième jambe. Je me lève pour rentrer mes fesses dans le bazar et remonter le reste sur ma taille et... Patatras ! L'entre-jambe du collant m'arrive à mi-cuisse ! Et c'est tout juste si le haut du collant dépasse le haut su slip. Les dames sont obligées de se donner le bras pour ne pas s'écrouler de rire. Et François n'est pas en reste.
Je rabaisse le collant. Et cette fois, je tire en le remontant. J'ai dis qu’Élodie est gironde, une petite boulotte et que je suis une grande gigue. Et je le vérifie. Si collant a assez de largeur pour me galber jambes, cuisses et fesses, il n'a pas assez de longueur. Je ne parviens pas à le remonter pour que le gousset -c'est comme ça qu'on dit pour un collant- vienne jusqu’à mon entre-jambes , il reste une poche d'au moins dix centimètres ! Et j'ai encore droit aux lazzis de mes spectatrices. Je n'ai vraiment pas de chance avec les collants !

Mais en quelques sortes, le malheur est bon. Avec le collant, ma petite culotte de satin tient mieux ! Et, ma foi, ce n'est pas désagréable comme sensation ! Bien plus confortable que les baleines qui m'écrasent les côtes !
***

Maintenant c'est François qui passe le chemisier d’Élodie. Il nous fait ça bien, digne et souple à la fois. Je lui en suis reconnaissant car il détourne l'attention de mes malheurs et il me donne le temps de me calmer. Enfiler le chemiser ne lui pose pas de problème. C'est le boutonner qui ne va pas. Un 38 femme n'a pas assez de largeur d'épaules pour un 40 homme. Même s'il est prévu pour contenir une poitrine, ça ne suffit pas et de loin. Il ne fermera que les deux boutons du bas. Il arbore pourtant un air très satisfait. Et c'est passablement indécent qu'il se tourne vers les dames pour leur faire admirer le résultat : Chemisier à peine fermé sur un soutien-gorge noir qui recouvre une poitrine velue à souhait et recouvrant à peine des fesses, il laisse dépasser des jambes, elles aussi bien poilues, gainées dans un collant chair et bien transparent...
***

Bon je sais ce qui m'attend avec la robe qui m'est destinée... Car pour l'instant, jupe et robe sont encore sur les fesses de leur propriétaire respectives et légitimes.
***

Les femmes enfilent nos chaussettes à la manière de bas, même s'il n'y a pas longueur. C'est assez rigolo. Et avec nos pantalons déjà mis, elles nous font un strip-tease en bonne et due forme pour retirer robe et jupe et nous les passer. Cette parodie me détend. Voir ma femme avec un pantalon bien trop large et beaucoup trop long, n'a rien d'excitant. Ma chemise aussi lui tombe sur les épaules. Elle ressemble à un clochard. Et cela m'amuse ; elle toujours bien mise, attentive à apparence. Là, c'est pas vraiment le cas.
***

C'est tout de même anxieux que je passe un pied puis l'autre dans la robe d'Isabelle et que je la remonte pour passer un bras dans une manche. Et là, j'ai un moment de panique. Est-ce que mon avant-bras va resté coincé ? Non, le tissus se détend. Et je parviens à ajuster la manche trois-quarts sous mon coude et a relever le reste sur mon épaule. L'autre côté passera de même. Et pas de problème de largeur aux hanches, je suis assez mince. Et toujours ces baleines qui me blessent. Non, la difficulté se trouve dans le dos. Comment la fermer cette robe alors que déjà la largeur d'épaules n'y est pas ?

- Allez, ma belle, je vais t'aider, me fait François.
Et joignant le geste à la parole, il me remonte la fermeture à glissière autant que faire se peut. Car comme pour François, il n'est pas possible de fermer entièrement.
***

Nous essaieront bien de passer les chaussures des femmes. Mais la pointure ne convient pas, pour ne rien dire de la différence de morphologie des pieds d'un homme ou d'une femme.
- Tu vas me les bousiller ! Dit Élodie avec précipitation. Et se hâtant de se défaire des mocassins de François pour les lui rendre, elle lui arrache presque des mains ses mignons escarpins.
Je n'aurai pas besoin d'essayer les trotteurs d’Élodie. Elle aussi se défait de mes richelieus avant que je ne les lui abime ses chaussures.
***

Et bien voilà, Messieurs Dames, les mecs sont habillés en fille, les femmes en hommes. C'est assez bizarre comme sensation que de porter une robe, un soutien et des collants. Et c'est assez bizarre de voir les autres ainsi attifés. Mais mission accomplie.



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