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Anecdote sexy 12 : 1er soir, 7ème ciel  

Chatlamandre 40M
6 posts
2/11/2017 6:35 pm
Anecdote sexy 12 : 1er soir, 7ème ciel

Dépucelage + 4 ans et 10 mois.

Sissy m'avait quitté trois mois auparavant. J'en étais à la quatrième étape du deuil amoureux : la rage de vivre. Bars, clubs, sites de rencontre, tout y est passé, en vain... ou presque.
Après quelques semaines de séduction frénétique, une réponse. Une femme mûre de douze ans mon aînée, célibataire. On échange quelques messages, je lui réponds aussi intelligemment que possible et elle souhaite assez rapidement entendre ma voix au téléphone. J'habitais encore chez mes parents, et leur chambre étant attenante à la mienne, je dus sortir par la fenêtre et la refermer derrière moi pour être sûr qu'ils ne se réveillent pas au de l'appel de leur fils à un plan cul à minuit passé.
Du peu dont je me souvienne, nous conversâmes un peu moins d'une heure à propos de nos attentes, à nous décrire l'un à l'autre, extérieurement autant qu'intérieurement, puis pour qu'elle me prévienne qu'elle était mère de jumeaux d'un an et demi. Ces succinctes épreuves passées, elle m'invita, à ma grande surprise, à passer la voir chez elle le lendemain au soir avant de raccrocher d'une voix exagérément suave. Elle me lança deux selfies avantageux souffrant de quelques supercheries de lumière et de perspective mais je ne lui en tins pas rigueur.

Un appartement en immeuble. Je sonnai, elle m'ouvrit, j'ouvris les yeux sur une femme mûre, en jeans/falltop, ni belle ni laide, mais commençant à être abîmée par l'alcool et la cigarette. Je devais attendre encore quelques heures pour constater que sa grossesse n'avait malheureusement rien arrangé. Elle avança maladroitement sa tête vers la mienne pour imprimer sa bouche contre ma joue. Je pénétrai chez elle pour y découvrir une déco design, très mainstream, bling-bling un peu vulgaire et la touche féminine omniprésente ; mais je n'étais pas venu pour jouer les Valérie Damidot.
Elle m'installa dans un fauteuil, me proposa une bière et s'assit, équipée de même, dans le divan en face de moi, de l'autre côté de la table du salon, les jambes croisées. Badineries, sujets triviaux, histoires personnelles, à mesure que le temps avançait, je m'efforçais de ne pas solliciter le moindre épanchement. Rien n'y fit, elle avait grand besoin d'une oreille attentive et elle me soûla de paroles avant de me soûler littéralement. Dans le flot incessant, je retins toutefois :
"...pas eu de rapport depuis 2 ans... c'est pas que je suis obsédée mais je suis à fleur de peau..."

Information importante : je ne suis pas un grand buveur. Ni à l'époque, ni même maintenant. Et ma résistance à l'alcool était inversement proportionnelle aux démangeaisons au fond de mon slip (même si je ne porte que des boxers). Aussi ne lui fallut-il me laisser me déverser que quelques grammes dans le sang avant de m'entraîner dans sa chambre et d'ôter nos vêtements.

Nous n'avions pour toute lumière que celle de sa lampe de chevet à franges. Hypnotisé par les lueurs inégalement réparties dans cet espace inconnu, je me laissai surprendre à contempler avec humilité le dos nu de cette femme qui, bien qu'assez simple et surtout usée par la vie, en s'exposant corps et âmes à un inconnu, mettait de côté orgueil et principes afin d'assouvir non plus une envie mais à ce stade un irrépressible besoin de chair voire même de par-delà la chair, à mesure que ses dernières feuilles tombaient à l'automne d'une pudeur inavouée.

Elle se tourna vers moi et vint se blottir contre mon torse et dans mes bras, comme pour ne plus sentir le poids de mon regard sur corps nu. A la sensation de sa respiration brève et de ses doigts cramponnés à mes épaules lorsque je remontai le bout de ma langue dans cou, il ne me fallut pas plus d'une minute pour me rendre compte de l'état de manque dans lequel elle se trouvait et de lointains souvenirs de ma jeunesse à pousser de semblables créatures sur le chemin du vice me revinrent en mémoire. Je me ferai une joie d'y revenir dans un futur indéterminé.

Ma main décida de quitter sa nuque pour voyager vers ses seins qu'elle avait petits et tombant. Du bout des doigts, j'en caressai le pourtour dans un lent mouvement en spirale resserré sur mamelon brun et large. J’aime avoir du mamelon petit et rosé, une préférence que j’oppose consciemment à ceux de ma mère et de ma sœur, gigantesques mares pigmentées. Mais un mamelon reste un mamelon, surtout lorsqu’il est posé sur un sein et surmonté d’un téton, si vous me suivez. Freud me prit à les sucer, l’un puis l’autre, les presser, les lécher, les mordiller. Et ma main partit à nouveau vers les contrées encore plus chaudes du sud. Passées des rebonds et rondeurs nombriliques que je n’eusse jamais auparavant envisagé comme autant d’objets de désir, si peu visibles fussent-ils, habitué que j’étais aux silhouettes graciles, mes doigts se heurtèrent à un rempart capillaire des plus latins. Je feignis l’indifférence et, pour me donner du courage, prit d’assaut sa bouche qu’elle gardait malgré elle ouverte, toute haletante.

A moi la théorie ! Leçon de masturbation féminine n°3, paragraphe 2 :
caresser lentement et pendant au moins 10 minutes le clitoris et masser alternativement de manière lente et appuyée l’entrée du vagin et celle de l'anus avec le pouce de l’autre main, continuer et enfoncer d'avantage le pouce progressivement jusqu’à une pénétration totale et un état d’excitation paroxysmique, soumettre alors soudainement le majeur et l’annulaire à un va-et-vient vaginal, paume vers le ciel, en pressant la pulpe de ces doigts contre la proéminence post-urétrale à l’entrée du vagin, dit « point G », tout en appuyant légèrement de l’autre main sur la zone sub-vésicale du ventre.

Quelques dix minuscules secondes de stimulation de la sorte et j’assistai, puissant et impuissant, à ma première véritable éjaculation féminine, vous savez, du genre de celles que l’on boit des yeux dans les films de Cytherea et autres nymphes des eaux claires et qui vous font lire des ouvrages entiers sur les pratiques sexuelles pouvant la déclencher... Et quelle éjaculation ! Sur la pointe des pieds, les jambes arquées comme chevauchant une monture invisible, elle fut prise de longues et violentes convulsions saccadées des épaules, du bassin et des cuisses et poussa un cri à la fois rauque et aigu quand sa cyprine fut projetée sur la moquette et l’armoire de sa chambre.

Elle avait pourtant fini de jouir, je ne sais pas quelle mouche me piqua d'insérer un troisième doigt et de continuer de secouer sans cesse sexe en déluge. râle reprit crescendo, ses jambes cédèrent, elle s’effondra sur le lit, à plat dos, je repliai ses jambes vers elle et glissai encore le pouce gigotant de ma main libre dans arrière-court, aux herbes toutes aussi hautes, d'ailleurs. La souplesse nouvelle du matelas m'autorisait des mouvements plus amples et plus rapides. Elle gémissait par saccades expirées en secouant sa tête et ses bras en tout sens, comme pour manifester un trop plein de plaisir, jusqu'à ce que sa plainte se mue en silence contenu, retenu, contracté, cambré et remué des pieds à la tête. La moquette fut à nouveau arrosée de ces brèves ondées de plaisir et moi, comme possédé par un sadisme fantasmé de longue date, je ne m'arrêtais pas, même si mon bras et mon poignet commençaient à se tétaniser.

"Stop ! Arrête ! Non ! Han ! Non ! Arrête s'il-te-plaît, j'en peux plus !"

Elle se redressa tant bien que mal sur ses coudes et serra les cuisses sur ma main pour me faire cesser. Elle ne se douta pas qu'une fois abdomen contracté de nouveau, le reste de ses muscles internes l'imiteraient.

Et râle devint cri.

J'enfonçai mon pouce dans sa bouche, celui-là même qui était recouvert du fluide chaud et visqueux de ses muqueuses anales. Elle était en nage depuis le tout début, mais en plus de ses cheveux collés à front et à ses joues, de mascara dégoulinant et de rouge à lèvres étalé, lui coulait maintenant de la bouche un long filet de bave imprévu qu'elle assuma totalement en tirant la langue sous mon pouce et en plissant les yeux sous la menace d'un troisième ("Et ultime !" agonisait mon bras) orgasme imminent.
Très imminent.

Une dernière fois elle éjacula. Elle me trempa le visage de plusieurs jets et je me penchai au-dessus du sien pour y faire couler toute cette cyprine.

"HAN NAN ! NAAAaaaAAAaaaAAAaaaannn !!! NAN OUIi C'EST TROooppprrrrrpppttt HAN !... Hhur ! Hrr... Hhhhnnnnnnnnnnnnnnnnnn... Knnnneemmfff
Hhsss...
Hhha...
Hhha..."
suivi d'un dernier gémissement tandis que mes muscles capitulaient "Mmmmmmmmmmmmm..."

Quelques dernières salves allèrent finir de souiller les draps au gré de spasmes incontrôlés accompagnés de gémissements étirés.
Alors que je m’allongeai à côté, je crus un instant la voir prise d’un rire nerveux... avant que je ne comprenne qu’elle éclatait en sanglots. Des sanglots lourds et profonds, et pourtant pas un soupçon de chagrin dans sourire et regard heureux.
Elle prit quelques secondes pour se calmer et me fit enfin entendre la raison d’un pareil ébranlement.

Je ne pourrais malheureusement pas décrire l’émotion qui saisit mon esprit à l’idée de la responsabilité immense qu’elle venait de jeter sur mes épaules, et je me sentis chanceux d’avoir remporter une telle victoire alors même que je n'en connaissais pas l’enjeu fatidique.
Au terme de hoquets larmoyants et d’une respiration difficilement maîtrisée, elle avait fini par me déclarer que malgré tout le plaisir qu'elle avait pu s'infliger en vain durant toute sa vie de fille, de femme et de mère, elle venait de vivre ses premiers orgasmes. Je pourrais dire que je fus pris de stupéfaction mais ce serait sans compter la pitié que j’espérai ne pas lui laisser deviner ni la fierté du faiseur de miracle qu'elle faisait de moi.
Et l’excitation ! Au diable la tendresse, elle avait rempli sa chambre de cyprine !

Je me saisis de sa bouche et démarchai un convoi d’expédition lingual à la découverte d’un corps qui me sembla immédiatement désirable. L’esprit domine le corps.
Je me lançai dans un véritable numéro d'artiste, tirais une à une toutes les ficelles que je connaissais, cachant mon excitation nerveuse derrière une méthode et une rigueur toutes retrouvées.
Cunnilingus, branlette clitoridienne, 69, anulingus, missionnaire, face au mur, à cheval sur moi, en cavalière, en crabe, en cuillères.
J’y ai passé la nuit. Elle n'éjacula pas de nouveau mais quel pied !

J’étais jeune, ivre et fatigué, j’ai connement laissé échapper un « Je t’aime » des plus malhonnêtes qui la fit évidemment plonger dans une passion démente.

Quelle erreur !

Le lendemain après-midi, elle me demanda de passer chez elle, et elle tint à mener la danse, de manière plus tendre et plus sensuelle cette fois… une dernière fois, car par la suite je revis finalement Ange pour qui mon cœur n’avait jamais cessé de battre depuis toutes ces années.

Elle me harcela de messages pendant plus de six mois, convaincue que, en la quittant pour Ange, j’étais sujet au frisson de réaliser un fantasme de toujours et que je concrétisais ce qui n’était, selon elle, qu’une amourette de jeunesse. Tout coupable que j’ai pu me sentir de l’avoir trahie de la sorte, j’étais assez facilement convaincu de n’avoir aucun sentiment pour elle quand je recevais ses monologues imbéciles et, las de m’efforcer de me montrer aimable, j’en arrivai finalement à lui répondre par d’immondes diatribes, ce qui m’assura de ne (quasiment) plus jamais avoir de ses nouvelles.



Concupiscent con comme cul pissant.


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