Qui l'eut cru
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Posted:Jun 13, 2013 8:37 am
Last Updated:Jun 19, 2019 10:51 pm
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Héraclès, alias Hercule
Dans la Grèce antique, Héraclès est le symbole de la force physique ; il est aussi celui de la gloire terrestre. Il est le seul héros à avoir été honoré dans l'ensemble de la Grèce antique et le seul humain à s'être vu accorder l'immortalité.
Les Romains l'ont plus tard nommé Hercule.
Il est devenu en occident l'archétype de la masculinité : Le Mec par excellence !
Sauf que....
La reine de Lycie, Omphale achète Hercule en tant qu'esclave !
« Tandis qu'Omphale, couverte de la peau du lion de Némée, tenait la massue, Héraclès, habillé en femme, vêtu d'une robe de pourpre, travaillait à des ouvrages de laine, et acceptait qu'Omphale lui donnât quelquefois de petites tappes avec sa pantoufle »
— Lucien de Samosate, Comment il faut écrire l'histoire, X.
Héraclès (ou Hercule) est un travesti
On trouve ainsi Hercule travesti sur d'anciens monuments et de nombreux tableaux de la Renaissance, par exemple celui de Rubens illustrant ce post.
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rencontre du troisième type
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Posted:Jun 11, 2013 11:09 pm
Last Updated:Dec 7, 2020 9:34 pm
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♂ Vous en avez marre des lourds qui ne pensent qu'à prendre leur plaisir,
♀ Vous en avez marre ses chipies qui vous poignardent dans le dos (« elle a encore pris trois kilo », « tu as vu sa dégaine »)
Essayez un trav qui regroupe le meilleur des deux mondes...
Je vous propose de regrouper ici une liste de liens vers vos blogs qui racontent vos découvertes et vos déceptions, vos aventures et vos rêves, vos, vos, vos...
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Orgasme
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Posted:May 28, 2013 11:06 am
Last Updated:Jun 19, 2019 10:51 pm
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Je regardais la rivière. Elle m'attire contre elle, mon dos sur torse. Ses lèvres bécotent mon cou. Ses bras m'enlacent. Ses mains parcourent mon corps. Levant les bras par dessus nos têtes, mes ongles montent et descendent dans sa nuque. Sa main glisse vers le bas jusqu'à ce qu'elle atteigne l'ourlet de ma jupe. Comme elle me tire encore plus fort contre elle, je sens corps pressé contre le mien. Sa main remontent la jupe. Ses lèvres baisent mon cou, mordillant chemin jusqu'à l'épaule pour sucer jusqu'à sous l’oreille. Sentant sa bouche sur ma peau comme elle me grignote et ses baisers dans mon cou, mon corps se tord plus contre elle. Lui chuchotant combien elle m'a manqué, je lui dis de me prendre. Ses doigts atteignent les endroits sensibles sous ma jupe courte. J'incline encore plus ma nuque pour qu'elle obtienne un accès complet à mon cou. Je sens sa main sous ma jupe. Je commence à gémir un peu.
Comme ses doigts courent sur le devant de ma culotte. Je sens ses doigts s'insinuer sur le côté. elle laisse alors ses doigts frotter le long de mon clito.,Gémissant plus fort, je sens ses doigts frottant ma chaude intimité. Oh my God ! yessssssss ! Écartant mes jambes pour qu'elle puisse avoir ce qu'elle a si patiemment excité pendant si longtemps. Je dis : Oh bébé ! Comme elle se déplace derrière moi et frotte pubis sur mes fesses. Puis descendant, elle saisit ma hanche dans autre main. Oh mon dieu oui je crie que je la sens. Et je lui dis de me prendre comme elle veut. Fuck me! Pussy me! Prends-moi chaude et pantelante ! Je gémis. Avec tous les efforts, elle bascule ses hanches d'avant en arrière sur mes fesses. Encore et encore. Avec un rythme régulier. Dur.
je sens la chaleur qui monte. Je sens sa main dans mes cheveux. Je crie oh oui ! Je peux sentir mon corps devenir tout tendu. oh mon dieu oui baise-moi fort ! Et je sens mon miel doux et chaud qui coule sur sa main.
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Lingerie soyeuse
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Posted:May 9, 2013 7:15 am
Last Updated:Jun 19, 2019 10:51 pm
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J'adore la lingerie soyeuse (soie, satin, certains polyesters doux, quelques microfibres etc.) Bien sûr, un peu de dentelles la rend plus jolie à regarder et plus féminine ; la couleur et la coupe ont aussi leur importance. Mais au toucher rien ne vaut la soie. J'en porte presque tous les jours, y compris sous mes vêtements d'homme.
Je n'aime pas seulement la porter, j'aime aussi la regarder et la toucher. Les magasins me voient souvent passer. Et une bretelle qui dépasse sur l'épaule de la dame dans le bus, me ravit. Voilà les beaux jours et je vais être comblée. Une copine me montrait la semaine dernière assortiment et moi le mien, m'a dit, dans un superbe sourire : Tu en as plus que moi ! Et en voyant les deux tas, c'était vrai.
Je raffole aussi à caresser, titiller, mordiller, souffler ma partenaire par dessus sa lingerie. Cela peu durer jusqu'à ce qu'elle s’impatiente.
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Votre aide, s'il vous plait
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Posted:May 2, 2013 11:00 pm
Last Updated:Mar 25, 2016 6:45 am
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Je serai heureuse, si vous m'aidiez à corriger mon annonce. Quoi ajouter ? Par quoi remplacer ? Que retrancher ?
Je vous suis très reconnaissante.
Titre de la présentation| TV douce, passive, BCBG, adorant l'humour, agréable et discrète, recherche une femme qui désir jouer... |
Texte de présentationAlors commençons par les qualités
- 52 cm à la naissance, a grandi depuis (1 m 80) et rétréci (175 et demi),
- joli petit cul, pas de nichons ni de bide (52 kg si vous voulez tout savoir)
- châtain il y a longtemps, beaucoup d'intrus blancs depuis,
- yeux verts pailletés or (si, si ! venez vérifier !)
- soutif pour cadeau : 90 AAA, culotte ou string assorti au susdit soutif : M ou 40
[post 2914057] vous en dira plus.
Les défauts maintenant :
- très sensuelle,
- sachant faire aux dames ce qu'elles apprécient,
- prenant toujours temps,
- adorant la lingerie soyeuse,
- habillé le jour comme il faut et habilléE le soir, comme il ne faut pas...
Mon blog Rita_Travestie vous en dira plus.
Je cherche une Maîtresse. Mais plus au sens de maîtresse d'école pour m'apprendre des trucs de fille qu'une maîtresse sévère en vue de punitions.
Une grande envie de douceur, de me laisser faire, d'être caressée, massée, pelotée, embrassée, triturée, malaxée... Alors draguez-moi.
Bisous |
Ma personne idéale| Féminine, féline, sensuelle, sachant jouer de ses charmes, câline, tendre... Vous m’apprendriez à devenir votre amante. |
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Vénus
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Posted:Apr 18, 2013 8:27 am
Last Updated:Jun 19, 2019 10:51 pm
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La naissance de Vénus, Sandro Botticelli 1485
Tableau sur toile (Hauteur 1,72m sur largeur 2,78m) musée des Offices de Florence.
Platon disait, à l'heure ou le couchant pâlit
Dieu du ciel, montrez-moi Vénus sortant de l'onde !
moi je dis, le coeur plein d'une ardeur plus profonde
Madame, montrez-moi Vénus entrant au lit !
Victor Hugo
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Éloge du Porte-jarretelles
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Posted:Mar 28, 2013 11:21 pm
Last Updated:Apr 6, 2013 12:12 am
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Éloge du Porte-jarretelles
Ce sous-vêtement a été indispensable pour faire tenir les bas pendant presque un siècle (1880 - 1970). Il a été créé par un corsetier du nom de Féréol Dedieu (ça ne s'invente pas !) pour des raisons médicales :la jarretière, ancêtre, favorise les varices. Cet accessoire de lingerie est souvent idolâtré par certains messieurs et maudit par les dames.
J'aimerai profiter de ma double appartenance pour relever les avantages et les inconvénients de cet ustensile, [post 3123206] puis faire part de mon [post 3123209].
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Au printemps
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Posted:Mar 22, 2013 4:50 am
Last Updated:Apr 29, 2024 1:53 pm
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Un joli soutien sous un haut en mailles larges.
Une jupe sur une culotte soyeuse. Et des bas fins (pas des opaques, mais du voile)
Et une petite brise qui vous caresse... J'avais oublié comme c'est bon.
Sans oublié, un mâle ou deux qui se retournent -et pas des plus moches.
Allez savoir pourquoi j'ai le sourire.
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Envie du moment
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Posted:Mar 2, 2013 1:17 am
Last Updated:Jun 19, 2019 10:53 pm
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| | Je me sens d’humeur lascive. | | | Je ne sais si c’est le printemps ou quoi ou qu’est-ce. Mais une étrange langueur s’impose. J’ai très envie de me laisser faire. Rien à voir avec la soumission ou autres jeux masochistes que je ne comprends pas et n'apprécie pas. Plutôt une espérance de volupté ; plutôt savourer que subir. | | Un désir sensuel m’étreint. Un espoir charnel et subtil m’étourdit. Un rêve sybarite s’imprime en creux et il n’attend que d’être comblé. |
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Photos
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Posted:Dec 4, 2012 12:09 am
Last Updated:Aug 15, 2013 9:30 pm
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J'aurai besoin, j'ai envie de nouvelles photos. Sauf qu'étant donnée ma condition de trav, j'ai besoin qu'on me dirige, qu'on m'aide à poser, il vous faut un regard exercé. Si vous êtes une femme et savez mettre en valeur la féminité, ce serait un vrai plus Au plaisir.
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Dans la vie d'une femme, il y a toujours pire
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Posted:Nov 28, 2012 11:56 pm
Last Updated:Nov 29, 2012 10:08 pm
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Dans la vie d'une femme, il y a toujours pire
Dans la vie d'une femme
- Il y a pire que la visite chez le gynécologue
- Il y a pire qu'un accouchement
- Il y a pire que l'épilation à la cire
- Il y a pire que les rides
- Il y a pire que les cheveux blancs
- Il y a pire que les ragnagnas
- Il y a pire que le premier jour des soldes
Dans la vie d'une femme, il y a l’épreuve du maillot de bain !
Dans ma vie spéciale de femme, c'est ce soir ! je suis invitée à une soirée piscine.
Ce n'est pas le maquillage qui m'inquiète. J'ai un crayon, un rimel et un rouge waters-proof.
C'est le sortir de l'eau qui m'inquiète.
Est-ce que le maillot mouillé saura retenir le silicone ? ma fausse poitrine va-t-elle rester en place ? Et je sais cacher ce qu'il y a en trop sous un legging ou un jeans moulant. Mais saurai-je le cacher sous un maillot ?]
Pensez à moi !
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Suite 3
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Posted:Aug 21, 2012 8:12 am
Last Updated:Jun 19, 2019 10:53 pm
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Élodie, la maîtresse de maisons, va mettre un disque de slows langoureux. Et les nouveaux mecs invitent ces « dames » à danser.
- C'est toi la fille ! Me fait Élodie quand je veux mettre mes mains sur ses hanches. C'est sur ses épaules qu'elle veut mes bras. Et c'est elle qui me tient par les hanches.
Et nous dansons. Et la coquine d’Élodie, à moins que je ne doive dire maintenant le coquin d’Élodie, a les mains baladeuses. Elle me caresse le creux des riens, elle palpe le haut de mes fesses, elle gratte le bas du mon dos. Non que ce soit désagréable.; mais je ne suis pas habitué et je ne sais pas comment réagir. Quand une main s'insinue dans l'échancrure de la tirette pas tout à faut remontée de ma robe et qu'un autre main s'aventure sur mes fesses, très bas, presque à l'entre jambe, je fais glisser ma main vers la poitrine d’Élodie. Mais je me fais rabrouer.
- Les femmes convenables ne pelotent pas la poitrine des mecs en dansant. Elles caressent la nuque de leur cavalier ! Ce que je m'empresse de faire.
Ce qui me permet de reluquer Isabelle dont la main disparaît presque entièrement dans le dos de la jupe de François, pendant que autre pelote habilement soutient-gorge.
Ça me fait de l'effet d'une part ce spectacle de mon Isabelle se comportant en mâle conquérant et d'autres ces caresses que me prodiguent Élodie, alors que j'ai bien plus l'habitude de les donner. Élodie ne tarde pas à se rendre compte, malgré mon mat rangé au fond de la culotte de satin bleu, je bande tant et plus. Mon cavalier m'entraine vers l'autre couple.
- Isa ! Y a ta femme qui tient plus. Fait Élodie. Elle a besoin que tu t'occupe d'elle.
Et d’échanger nos cavaliers.
- Alors t'as des envies ? Me glisse Isabelle dans l'oreille, tout en faisant remonter le dos de ma robe avec deux doigts, centimètre par centimètre et me plaquant fortement et fermement contre elle.
Maintenant sa main caresse le bas de ma fesse gauche et le bouts de ses doigts s'insinuent entre mes cuisses, exactement là où est rangé mon attirail ! Le collant et le satin exacerbent mes sensations... Je caresse le bas de sa nuque et le haut de dos. Je pose ma tête sur on épaule et je savoure...
François et Élodie sont eux aussi bien partis de leur côté. Ils se roulent des pelles à qui mieux mieux.
***
Nous prenons rapidement congé de nos hôtes. C'est à dire que je serre la main de Monsieur Élodie dans une petite révérence et que je fais la bise à Madame François. Pendant que Monsieur Isabelle remercie chaleureusement Madame François pour « cette plaisante et excitante soirée. » Il me racontera lundi à la pause, qu'il a dû se taper toute la vaisselle et le rangement en vertu de sa nouvelle condition de maîtresse de maison. Pendant qu’Élodie regardait l'enregistrement d'un match en fumant le cigare. En rigolant il a préciser : Je lui ai fait le coup si souvent qu'elle m'a rendu la pareille !
***
Dans la voiture, c'est Isabelle qui conduit. Et comme je l'ai fait à plusieurs occasions, Mon Isabelle change très peu de vitesse. Sa main courre sur ma cuisse et sous ma robe.
- Il faut que tu m'aide un peu, ma chérie. Je dois aussi conduire !
M'enfonçant un peu plus sur siège , j'écarte les cuisses. C'est dans cette position particulièrement indécente que je savoure pendant tout le trajet les caresses très précises et je dois dire admirablement administrées d'Isabelle.
***
À l'arrivée, j'ai droit à un patin d'enfer. Typiquement celui d'un mec qui n'en peut plus d'attendre. Je ne sais pas si Isabelle est dans ce cas, mais elle imite à la perfection le mâle impatient. Et mes sensations sont nouvelles. Recevoir un baiser tel(le) une femme, être fouillé(e) impétueusement, être empli(e), c'est nouveau pour moi. Et, ma foi, très agréable. De même qu'il m'est très agréable d'être serré(e) dans les bras et de recevoir des bécots multiples, des léchouilles et de tendres morsures dans le creux de mon coup et sur et dans l'oreille. Elle a murmurée dans mon oreille « Tu es très jolie. Ça te va bien. » Sur le moment ça m'a fait plaisir et j'ai souri ; j'aurais dû me méfier. Mais n'anticipons pas !
- Viens, je vais te faire un cunni comme jamais tu en as eu ! Promesse pas très difficile à accomplir, je n'ai jamais reçu de cunnilingus. En de très rares occasions une fellation, mais cunni jamais.
Et c'est la main au cul, sous la robe, que j'aie monté l'escalier de la chambre. Elle m'a fait tombé(e) sur le lit et s'est jeté(e) sur moi. Elle a glissé le long de mon corps jusqu'aux genoux. Et elle s'est insinué(e) sous ma robe. J'ai senti sons souffle sur ma cuisse, puis ses lèvres remontant tout du long. menton m'oblige à écarter. Et là, elle s'est occupé(e) de mon équivalant du clitoris. Elle n'a pas cherché mon bouton (gland); elle a insisté sur la jonction avec le pubis. Les copains, divin ! C'est pas un truc auquel, nous les mecs, on pense et donc on le demande jamais; mais je peux vous dire : essayez !
Elle a marmonné quelque chose, là en bas entre mes cuisses. Avec l'expérience de la suite, j'en déduis qu'Isabelle a découvert (enfin!) quelle frustration procure un collant. Toujours est-il qu'elle s'est reculé et entrepris de me l'enlever. Ceci fait. Elle est remonté a l’assaut dans un long lèchement de ma jambe. Et à nouveau baisers intimes par-dessus la petite culotte de satin bleu-clair. Sa main caresse le haut de l'intérieur de ma cuisse. C'est sublime à recevoir, parce que cela procure un immense plaisir sans risquer l’immense inconvénient mâle : l'éjaculation, qui en soit est très agréable, mais signifie aussi et hélas : fin des ébats !
Après un long moment, Isabelle a glisser sa main dans le haut de ma petite culotte et a tiré dessus. Sa bouche s'est occupé de ma jonction, la jonction de la verge avec le pubis, pendant que ses doigts caressaient dans la culotte mon gland et mes couilles. Mais peut-être devrai-je dire : mon bouton et mes lèvres ?
Quand j'étais presque à termes, Isabelle s'est redressé(e), a un peu plus baissé ma culotte, sortit mon machin. Et elle s'est assis(e) sur moi. Je n'avais même pas remarqué qu'elle avait retiré(e) fute et slip d'homme.
Elle m'a fait écarter les jambes, remonter les genoux. Et elle m'a fait l'amour... comme un homme attentif à mon plaisir...
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Suite 2
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Posted:Aug 21, 2012 8:02 am
Last Updated:Apr 29, 2024 1:53 pm
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- À vous, Messieurs.
Je suis interloqué : L'équivalent de mon pantalon est la jupe d'Isabelle ; Et elle pend sur ses hanches. Que dois-je faire ? Mais François, lui, a compris ; il va chercher le collant d’Élodie. Je me lève à mon tour pour aller chercher le collant qui m'est destiné. Et je l'enfile... à la manière d'un pantalon. C'est-à-dire debout, en le tenant par le haut et en l'écartant un max ; et je glisse mon pied dans le machin. Mais ce n'est pas un pantalon. Et mon pied reste coincé à, à peine mi-longueur. Je force et ça coince d'avantage. Déséquilibré, un pied en l'air, je m'écroule sur le tapis. Et mon pied passe au-travers du voile. J'ai déchiré la fragile chose.
- Oh non ! Fait Isabelle. Comment on va faire maintenant ? ton est plus triste que réprobateur.
- T'inquiète, ma cocotte. Fait Élodie en se levant pour disparaitre à grands pas.
Elle a tôt fait de revenir avec un collant noir. Elle se place au-dessus de moi qui suis assis sur le tapis. Elle fait se balancer le collant qui me caresse la poitrine puis les cuisses et le bas-ventre.
- Et cette fois-ci fais attention ! Me lance-t-elle sur un ton que n'aurait pas renié mon adjudant.
Je me dépêtre du collant troué, me relève et vais m'assoir. Et à la manière dont j'ai vu ma mère mettre des bas, je rassemble dans ma paume toute la longueur d'une jambe du collant d’Élodie, pour y glisser délicatement mon pied et remonter en dévidant le long de ma jambe jusqu’en haut de la cuisse. Puis reposant cette jambe gainée parterre, je lève l'autre pour faire de-même. Mais il n'y a pas assez de longueur ou de largeur, je ne sais pas. Toujours est-il que je ne parviens pas à plier suffisamment ma jambe pour la rentrer dans le collant à demi enfilé. J'ai trop remonté la première jambe. Déséquilibré, je manque de me foutre parterre depuis ma chaise. Et lâchant tout, je pose une main au sol pour me rattraper, tout en reposant précipitamment mon pied.
- T'as vraiment un problème avec les collants, toi ! Me fait François d'un ton goguenard. Les filles rient de bon cœur. Je ne me sens pas à la fête.
C'est que François est déjà paré du sien. Et les filles se donnent des coups de coudes en se tordant de rire.
Je respire un grand coup. Je baisse ce maudit collant presque jusqu’au genou. Je rassemble l'autre jambe du truc au milieu de mes deux paumes. Et c'est passablement énervé, que j'enfile la deuxième jambe. Je me lève pour rentrer mes fesses dans le bazar et remonter le reste sur ma taille et... Patatras ! L'entre-jambe du collant m'arrive à mi-cuisse ! Et c'est tout juste si le haut du collant dépasse le haut su slip. Les dames sont obligées de se donner le bras pour ne pas s'écrouler de rire. Et François n'est pas en reste.
Je rabaisse le collant. Et cette fois, je tire en le remontant. J'ai dis qu’Élodie est gironde, une petite boulotte et que je suis une grande gigue. Et je le vérifie. Si collant a assez de largeur pour me galber jambes, cuisses et fesses, il n'a pas assez de longueur. Je ne parviens pas à le remonter pour que le gousset -c'est comme ça qu'on dit pour un collant- vienne jusqu’à mon entre-jambes , il reste une poche d'au moins dix centimètres ! Et j'ai encore droit aux lazzis de mes spectatrices. Je n'ai vraiment pas de chance avec les collants !
Mais en quelques sortes, le malheur est bon. Avec le collant, ma petite culotte de satin tient mieux ! Et, ma foi, ce n'est pas désagréable comme sensation ! Bien plus confortable que les baleines qui m'écrasent les côtes !
***
Maintenant c'est François qui passe le chemisier d’Élodie. Il nous fait ça bien, digne et souple à la fois. Je lui en suis reconnaissant car il détourne l'attention de mes malheurs et il me donne le temps de me calmer. Enfiler le chemiser ne lui pose pas de problème. C'est le boutonner qui ne va pas. Un 38 femme n'a pas assez de largeur d'épaules pour un 40 homme. Même s'il est prévu pour contenir une poitrine, ça ne suffit pas et de loin. Il ne fermera que les deux boutons du bas. Il arbore pourtant un air très satisfait. Et c'est passablement indécent qu'il se tourne vers les dames pour leur faire admirer le résultat : Chemisier à peine fermé sur un soutien-gorge noir qui recouvre une poitrine velue à souhait et recouvrant à peine des fesses, il laisse dépasser des jambes, elles aussi bien poilues, gainées dans un collant chair et bien transparent...
***
Bon je sais ce qui m'attend avec la robe qui m'est destinée... Car pour l'instant, jupe et robe sont encore sur les fesses de leur propriétaire respectives et légitimes.
***
Les femmes enfilent nos chaussettes à la manière de bas, même s'il n'y a pas longueur. C'est assez rigolo. Et avec nos pantalons déjà mis, elles nous font un strip-tease en bonne et due forme pour retirer robe et jupe et nous les passer. Cette parodie me détend. Voir ma femme avec un pantalon bien trop large et beaucoup trop long, n'a rien d'excitant. Ma chemise aussi lui tombe sur les épaules. Elle ressemble à un clochard. Et cela m'amuse ; elle toujours bien mise, attentive à apparence. Là, c'est pas vraiment le cas.
***
C'est tout de même anxieux que je passe un pied puis l'autre dans la robe d'Isabelle et que je la remonte pour passer un bras dans une manche. Et là, j'ai un moment de panique. Est-ce que mon avant-bras va resté coincé ? Non, le tissus se détend. Et je parviens à ajuster la manche trois-quarts sous mon coude et a relever le reste sur mon épaule. L'autre côté passera de même. Et pas de problème de largeur aux hanches, je suis assez mince. Et toujours ces baleines qui me blessent. Non, la difficulté se trouve dans le dos. Comment la fermer cette robe alors que déjà la largeur d'épaules n'y est pas ?
- Allez, ma belle, je vais t'aider, me fait François.
Et joignant le geste à la parole, il me remonte la fermeture à glissière autant que faire se peut. Car comme pour François, il n'est pas possible de fermer entièrement.
***
Nous essaieront bien de passer les chaussures des femmes. Mais la pointure ne convient pas, pour ne rien dire de la différence de morphologie des pieds d'un homme ou d'une femme.
- Tu vas me les bousiller ! Dit Élodie avec précipitation. Et se hâtant de se défaire des mocassins de François pour les lui rendre, elle lui arrache presque des mains ses mignons escarpins.
Je n'aurai pas besoin d'essayer les trotteurs d’Élodie. Elle aussi se défait de mes richelieus avant que je ne les lui abime ses chaussures.
***
Et bien voilà, Messieurs Dames, les mecs sont habillés en fille, les femmes en hommes. C'est assez bizarre comme sensation que de porter une robe, un soutien et des collants. Et c'est assez bizarre de voir les autres ainsi attifés. Mais mission accomplie.
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